ASSAUPAMAR : "Une victoire qui en appellera d’autres. Restons mobilisés !" -
L’épandage aérien représente un risque pour la santé
Après le tribunal administratif de Basse Terre (Guadeloupe), le 5 juillet 2013, celui de Fort de France a également pris sa décision : les magistrats ont ainsi décidé de suspendre l’épandage aérien, pourtant autorisé par le préfet - représentant de l’état - le 26 février 2013.
"Le préfet n’a pas retenu la règle relative au principe de précaution", argumentaient les avocats des opposants à l’épandage aérien : les magistrats ont ainsi estimé que l’épandage aérien représente un risque pour la santé, le tribunal administratif de Fort de France adoptant une position similaire à celui de Basse-Terre, en Guadeloupe.
Cette décision intervient alors que le préfet de Martinique, Laurent Prévost, accordait en début d’année une troisième dérogation consécutive à l’interdiction de l’épandage aérien dans les cultures de banane pour une durée d’un an.
La requête avait été déposée par l’assaupamar et l’association pour la sauvegarde de l’environnement et la santé.
"Une victoire qui en appellera d’autres. Restons mobilisés !" - ASSAUPAMAR
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