Test de connexion ADSL
Test de bande passante

Quel est votre débit effectif ?

Testez votre ligne ADSL[1] pour connaitre votre bande passante réelle.

Le débit sur votre ligne dépend de nombreux paramètres tels que la longueur de votre ligne, de votre modem, du moyen de raccordement à votre ordinateur (WiFi, USB, Ethernet), etc...

En fonction de l’offre internet que vous avez souscrite et de la distance entre votre installation et votre DSLAM[2] mais aussi de la qualité du réseau (de la ligne téléphonique utilisée), votre débit effectif ne sera jamais celui qui vous est donné par votre opérateur : le débit donné par ce dernier est en fait un débit "maximum" possible.

Si votre ligne est bonne, et que vous n’êtes pas situé trop loin du DSLAM, votre débit effectif doit normalement s’approcher du débit donné par votre opérateur.

A l’inverse, si votre ligne téléphonique est mauvaise, si vous êtes loin du DSLAM, vous risquez fort d’être surpris par la réalité du débit de votre connexion, qui peut alors être très loin du débit maximum de l’offre internet que vous avez souscrite...

Et en cas de problème sur le réseau... votre débit peut alors descendre jusqu’à des chiffres se rapprochant des connexions "modem 56ko" utilisés dans les années 80...

Download, ulpoad ?

• Le débit "descendant" (download) correspond à la réception de données : Affichage des pages, téléchargement d’un programme, réception des e-mails, réception de fichiers par FTP, etc.

• Le débit "montant" (upload) correspond à l’émission de données : envoi des e-mails, envoi de fichier par FTP, etc.

Ko/s ou Kb/s

Selon l’outil que vous allez utiliser pour mesurer votre débit, vous aurez les résultats en ko/s (kilo octets par seconde) ou en kb/s (kilo bits par seconde).

C’est exactement la même chose, mais exprimée différemment.

Pour trouver l’équivalence en kilo-octets (ko/s ou kByte/s), on divise le résultat exprimé en kilobits (kBit/s) par 8, en vertu que 1 octet est formé de 8 bits.

Quel débit en France

Avec les données fournies par ceux qui testent leur ligne sur leur site, Zdnet a comparé, par pays, les résultats obtenus.

La France se situe ainsi en 27e position, en moyenne des débits obtenus, avec une moyenne de 4614 kbps (ce qui fait rêver, en Guadeloupe...).

Ci-dessous un graphique issu du site Zdnet comparant le débit (en kb/s) obtenu en faisant la moyenne, par pays, des personnes ayant utilisé leur site internet pour mesure leur débit [3] :

Le tableau suivant nous donne plus d’informations [3] :


Pour tester sa connexion :

Le plus concis, direct à l’essentiel :

• mire.ipadsl.net/

Avec de nombreuses explications :

• libellules.ch

Avec des forums, la possibilité de laisser des messages, des comparatifs (réseau Zdnet) :

• zdnet.fr

Notes :

[1] - Digital Subscriber Line ou DSL est un mode d’exploitation étendu de lignes téléphoniques en cuivre existantes partant du principe suivant : une ligne téléphonique permet de diffuser des ondes comprises dans un certain spectre de fréquences ; or la voix n’utilise qu’une partie très restreinte de ce spectre, et il est même possible de la réduire encore sans gêner les communications. L’idée est donc de mettre à profit la partie non utilisée du spectre pour transporter d’autres données. Il existe plusieurs DSL, modes d’exploitation étendu de lignes téléphoniques : IDSL, HDSL, VDSL, DSM, ..., et le fameux ADSL.
ADSL (Asymmetric Digital Subscriber Line), est intéressant quand on reçoit davantage que l’on émet, ce qui est généralement le cas chez les particuliers, raison pour laquelle c’est le mode DSL le plus utilisé par les opérateurs offrant leur services aux particuliers dans la cadre d’abonnements à internet (forfaits internet).

[2] - DSLAM (source : wikipedia) : Le DSLAM est un multiplexeur (appareil assurant une fonction de multiplexage) qui permet d’assurer sur les lignes téléphoniques un service de type DSL (VDSL, ADSL 2+, SDSL, …).
Techniquement, le DSLAM récupère le trafic de données, issu de l’utilisation des technologies DSL (internet haut débit, télévision par ADSL, VoIP …), transitant sur les lignes téléphoniques qui lui sont raccordées, après que ce trafic a été séparé du trafic de voix issu de la téléphonie classique, grâce à un filtre. Ensuite le DSLAM regroupe le trafic des différentes lignes qui lui sont raccordées (« petits tuyaux ») et le redirige vers le réseau de l’opérateur ou du fournisseur d’accès (« gros tuyau ») selon le principe du multiplexage temporel où les données sont transportées en Ethernet ou en ATM.
Géographiquement, le DSLAM se situe à la terminaison de la boucle locale (partie entre la prise téléphonique et le répartiteur).

[3] - ce graphique et ce tableau vous sont donnés à titre indicatif. Ils ne correspondent qu’à la moyenne des débits de personnes ayant testé leur ligne sur Zdnet. Par ailleurs suivant les pays, vous pouvez constater que cette moyenne est calculée à partir de plus ou moins de données - 17 pour les îles Faroe (Faroe Islands), 2866 pour la Répubique de Corée (Korea) et 656502 pour la France avec une moyenne de 4614 kbps (mais la France n’apparaît ni dans le tableau ni dans le graphique, étant à la 27e position).

Collectif "Guadeloupe Alerte Orange" Nous sommes un collectif d’abonnés (ou d’anciens abonnés !) très en colère contre leur fournisseur d’accès à internet (Orange) et/ou au téléphone France Telecom. (...)
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 4/12/2010

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