Depuis que j’ai retrouvé Chili sur le macadam dans une petite rue d’une colline de Rome ce triste mercredi 7 mai, j’ai traversé différentes phases. Un état de choc et de sidération, d’abord, accompagné d’une tristesse infinie, face auxquels les mots semblaient manquer. En quelques jours, j’ai pleuré (...)
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